1. L’impôt sur les sociétés

C’est le principal impôt que votre entreprise doit payer. Il est prélevé sur les bénéfices que vous avez réalisés. Voici quelques points sur cet impôt :

– Il concerne les entreprises en France.
– Il se décline en 2 types selon la forme de l’établissement : l’imposition obligatoire et l’imposition optionnelle.
– Son taux est fixé à 25 % quel que soit le CA de la société. Toutefois, il est réduit à 15 % pour les PME.
– La déclaration et le paiement de l’impôt sur les sociétés se font par voie dématérialisée via l’intervention d’un partenaire EDI de l’entreprise.

Les articles sur les démarches fiscales de lemeilleurpatron.org peuvent vous en dire davantage sur l’impôt sur les sociétés. N’hésitez pas à les examiner pour avoir plus d’informations utiles.

2. TVA (Taxe sur la Valeur Ajoutée)

Ici, votre entreprise joue le rôle de collecteur d’impôt pour l’état. Le montant de la TVA est déterminé à partir des ventes hors taxes des biens et des services.

Il y a quelques types de TVA :
– La TVA à taux normal 20 % pour les produits et services,
– La TVA à taux intermédiaire 10 % pour tout ce qui concerne la restauration,
– La TVA à taux réduite 5.5 % pour les produits de première nécessité,
– La TVA à taux très réduit 2.1 % pour les médicaments remboursés par la Sécurité sociale et pour le secteur de la presse.
Notez que la législation envisage de modifier les taux de TVA à appliquer sur certains produits et services. Avec legarima.fr, vous pouvez rester à jour sur ces modifications pour éviter les surprises.

3. L’Impôt sur le revenu des sociétés (IRIS)

L’impôt sur le revenu est calculé sur les bénéfices de votre établissement. Son taux varie selon votre niveau de bénéfice et est fixé par la législation fiscale en vigueur. Le délai de déclaration et de paiement de l’IRIS dépend aussi de la législation en vigueur.

La déduction et l’incitation

Votre entreprise a la possibilité de déduire certaines dépenses de vos bénéfices imposables. Le gouvernement peut également vous proposer des incitations fiscales dans le but de vous encourager à faire certaines activités économiques.

4. Cotisations sociales patronales

Encore appelées charges sociales, les cotisations sociales patronales sont à votre charge. Vous devez les verser aux organismes de protection sociale. Leur calcul est effectué en appliquant le taux de cotisations patronales à la base de cotisation. Les charges patronales équivalent donc au salaire limité par le plafond mensuel de la Sécurité sociale multiplié par le taux de charges sociales.

Pour aider les employeurs, un mécanisme de réduction des charges patronales a été mis en place par l’État. Il est aussi à noter que ces cotisations doivent être indiquées sur le bulletin de paie.

5. Les autres taxes

Il y a encore quelques impôts courants que votre entreprise doit payer :

– Les taxes foncières : ce sont des impôts sur la propriété immobilière utilisée par votre établissement. En général, ils se composent de deux parties : la CFE et la CVAE.
– Les cotisations aux organismes de retraite et de prévoyance : le paiement de ces cotisations à la prévoyance de base de la sécurité sociale est obligatoire.
– La taxe sur les salaires : si votre entreprise n’est pas soumise à la TVA.
– Les contributions environnementales ou écoparticipation : ce ne sont pas vraiment une taxe. Elles sont utilisées pour dépolluer, recycler et collecter les DEEE.
– Les autres taxes spécifiques à l’industrie.
– L’impôt sur les dividendes des actionnaires.

Comment étudier ?

Dans la vie, les études passent toutes par un même chemin malgré l’existence des petites modifications selon la nationalité. On passe tous par cette première étape, où l’on apprend à parler, à lire, à écrire et même à compter, puis on pratique des études plus ou moins approfondies en atteignant l’âge de l’adolescence. Cette étape est cruciale car les connaissances profondes commencent de là, les jeunes sont alors capables d’obtenir leur diplôme, puis de faire des études supérieures, qui sont une porte vers le monde professionnel. Ces dernières sont d’ailleurs les plus importantes afin de pouvoir décrocher un emploi, une vie meilleure.

Comment faire pour avoir une bonne formation ?

Pour avoir une bonne formation, il faut tout d’abord trouver une formation correspondant à l’emploi, c’est à dire avoir une bonne idée sur les besoins du marché de l’emploi sur un métier bien déterminé, c’est de la que les questions se posent, quelles connaissances vous devez acquérir ? Quel niveau d’études est primordial ? Est ce qu’il y a des formations spécialement recherchées ? Ensuite, il faut être sûr que l’organisme de formation offre des garanties en termes de qualité. C’est à dire, il faut s’assurer que les objectifs de formation sont clairs, que les formateurs ont les compétences requises, que les formations sont adaptées au niveau de chacun, que le taux de réussite à l’évaluation est satisfaisant et enfin il faut de bons matériaux mis à disposition pour la formation.

Les missions d’un paysagiste

L’aménagement et création de jardins et des espaces verts

Pour concevoir tous les travaux d’aménagement, de création et même d’entretien des espaces verts et du jardin, vous pouvez contacter un paysagiste. Un paysagiste est capable de créer un jardin selon vos demandes.

La conception et l’étude

Le professionnel ne se contente pas de suivre les directives données par ses clients, il doit lui-même concevoir le plan. Puisqu’il a une parfaite maîtrise dans ce domaine, il saura comment aménager le jardin comme il le faut. Il fait des études pour s’assurer de la bonne faisabilité du projet.

L’entretien de jardin

L’entretien fait partie des missions principales du paysagiste. Quand l’architecte paysagiste a fini d’aménager ou de créer le jardin de son client, il prend en charge l’entretien de celui-ci pendant un certain temps.

Toutefois, il ne pourra pas l’entretenir pour toujours, alors il guide et donne des conseils à ses clients afin que ces derniers sachent comment s’y prendre.

Les qualités et les compétences d’un paysagiste

Pour mériter le titre d’architecte paysagiste. Le paysagiste doit être doté de quelques compétences et qualités :

Il doit avoir une bonne condition physique.
Le professionnel doit être créatif et innovant.
Un paysagiste doit être polyvalent, car il effectue beaucoup de travail comme l’élagage de sabre, l’horticulture, etc.
Il doit également avoir des connaissances en architecture.
Il doit être doté d’un bon sens relationnel, car il devra communiquer avec les clients.

Les études et les formations suivies par un paysagiste

Voici quelques exemples de formation et de diplôme pour devenir un paysagiste :
– Niveau bac :
Bac pro AP – aménagements paysagers
CS constructions paysagères
– Niveau bac + 2
BTSA AP – aménagements paysagers
– Niveau bac + 3
Licence professionnelle aménagements paysagers
Bachelor d’assistant paysagiste (ESAJ)
– Niveau bac + 5
DEP – Diplôme d’Etat de paysagiste (accès par concours après un bac + 2)

Soumettre la proposition auprès des actionnaires ou des associés

S’assurer que le nom est disponible

– La dénomination sociale ou raison sociale, qui figure dans le statut juridique ;
– Le nom commercial, c’est-à-dire celui sous lequel elle se fait connaître auprès du public ;
– L’enseigne commerciale, permettant de l’identifier. Il s’agit généralement d’un logo, d’une image ou d’une inscription spécifique.

Sachez que chacun de ces noms est protégé, d’où l’intérêt de se renseigner sur ceux disponibles. Pour ce faire, vous pouvez effectuer une recherche d’antériorité ou consulter la base de données des entreprises sur le site de l’info-greffe.

Publier une annonce légale

– Sa précédente dénomination sociale ;
– Sa nouvelle dénomination ;
– Sa forme juridique ;
– L’adresse de son siège ;
– Son numéro d’immatriculation ;
– Etc.

Pour vous aider dans cette démarche, retrouvez le guide proposé sur annonces-legales.fr. À noter que l’attestation de parution vous sera demandée au moment de finaliser l’enregistrement des modifications au RCS.

Opportunité : Les jeunes personnes sont très demandées

Vous êtes susceptible de commencer une formation parce que de nombreux domaines d’activité cherchent des apprentis. 60 000 places, rien qu’en octobre 2020, n’ont pas encore été comblées.

Revenu : apprendre et recevoir un salaire

Si vous débutez une formation professionnelle en France, vous recevrez votre rémunération dès le premier jour. En effet, les entreprises vous versent un salaire pour la tâche que vous réalisez.

Début de carrière : une bonne opportunité d’être engagé

Les formations professionnelles peuvent être votre clé pour entrer sur le marché du travail français. En effet, les deux tiers des étudiants sont directement embauchés par l’entreprise à l’issue de la formation. Ensuite, ils deviennent des professionnels qualifiés qui mènent une belle vie et bénéficient du fait qu’ils connaissent déjà l’entreprise, le style de travail et les collègues.

De bonnes perspectives de carrière

La formation professionnelle est une préparation parfaite pour votre avenir, parce que les marchés du travail manquent de professionnels motivés et qualifiés. Certains domaines ont même besoin davantage de travailleurs compétents que de diplômés d’études supérieures.
Si votre niveau d’éducation est faible, cela peut devenir un obstacle à votre développement professionnel. La formation professionnelle est alors un excellent moyen d’améliorer votre CV et d’obtenir les diplômes nécessaires pour accéder à des postes de niveau supérieur. La formation à distance est aussi un bon moyen d’apprendre tout en maintenant des activités professionnelles.

Où trouver le code promo étudiant ?

Pour détecter un code promo étudiant, il suffit d’aller sur un site Web marchand. Sur le bandeau du menu, jetez un œil pour voir si une rubrique est dédiée aux remises étudiantes. Il se peut également qu’un lien hypertexte se trouve dans la page d’accueil, généralement sur le bandeau récapitulatif. Parfois, il se situe dans les FAQ. Enfin, si vous ne l’avez pas trouvé, essayez de lancer une recherche avec les mots-clés suivants : offres étudiantes, étudiant ou Code promo étudiant. Il existe également quelques sites marchands, dont BackMarket, qui offrent des programmes spécifiques pour les étudiants. De cette manière, vous pourrez bénéficier de bons plans le long de l’année sur les produits dont vous avez besoin ou ceux qui sont récents. Bien évidemment, vous pouvez passer par le site de la marque et suivre les indications lors de la validation de votre panier.

Comment utiliser un code promo étudiant ?

Pour vous inscrire, il faudra d’abord justifier votre statut pour éviter les fraudes. La plupart des sites de vente en ligne sont liés à des organismes certificateurs, tels que AirCampus, Studentbeans ou Unidays. Sachez que le code de réduction étudiant fonctionne de la même manière qu’un code promo classique. En premier lieu, il faudra remplir le panier avec les produits que vous souhaitez acheter. Lorsque vous validez la commande, vous devez saisir le code dans la case destinée au Code promotionnel sur le site. En général, elle se trouve dans le panier, dans le récapitulatif de commande ou avant le paiement selon les sites marchands. Assurez-vous de le valider en cliquant sur OK. Le reste se fera automatiquement. Si votre code est bon et validé, la remise sera appliquée immédiatement sur le montant total de votre achat. Il arrive que le code étudiant soit refusé. C’est le cas lorsque votre statut n’est pas du tout vérifié, si le produit n’est pas concerné par la remise étudiante ou si vous le cumulez à un autre code.

Un statut juridique pour le e-commerce, est-ce obligatoire ?

Le commerce sur Internet est en pleine expansion. La plupart des entrepreneurs ne se lancent plus dans la création d’une boutique physique. L’e-commerce est soumis aux mêmes règles que le commerce traditionnel. La vente de produits ou de services en ligne impose au commerçant certaines obligations. Il y a l’obligation de choisir un statut juridique au préalable pour sa boutique en ligne. Ainsi, l’entreprise est créée et l’activité e-commerce peut débuter. Mais concrètement une question se pose : quelle forme juridique doit-on adopter ? Il est primordial de choisir un statut juridique qui lui correspond. De plus en plus de personnes mettent en place un site web pour vendre des services ou des produits en ligne. Si l’activité ne s’effectue pas de manière régulière et/ou répétée, il n’est pas nécessaire de choisir un statut juridique. Mais si la vente se poursuit de façon habituelle et continue, l’exploitant du site Web est contraint de créer une entreprise. Ainsi, le particulier est considéré comme un commerçant. Du coup, il doit réaliser les formalités d’inscription en qualité de commerçant.

Les alternatives possibles

La structure juridique de votre entreprise dépend de la nature de votre activité. Vous disposez de trois choix :

L’auto Entreprise

Le cybervendeur peut immatriculer gratuitement l’entreprise en ligne.

L’entreprise individuelle

Son atout majeur est l’absence de personnalité morale. Il s’agit des EI et EIRL.
Donc, il est simple à constituer. La procédure s’effectue auprès du Centre de Formalités des Entreprises.

La forme sociétaire ou la société

La société naît dès la signature des statuts. Elle doit être immatriculée au registre du commerce et des sociétés. Il concerne les SARL, SA, SNC et SAS. Ainsi, la société va disposer d’une personnalité morale. Le patrimoine personnel se distingue du patrimoine de la société.

Vous devez connaître vos cibles

Pour commencer, il est important de définir les personnes que vous ciblez avec la formation. De ce fait, il n’est pas question d’attirer l’attention de n’importe qui pour vendre efficacement votre travail. Ainsi, vous devez déterminer à qui vous comptez adresser votre formation. Cela vous donnera des idées des personnes qui peuvent s’y intéresser. Il faudra aussi s’informer sur les besoins et les attentes de vos principales cibles. Il est même recommandé d’étudier les préférences de chaque personne que vous ciblez. Ici, vous pouvez prendre en compte l’endroit où ils ont tendance à s’informer ainsi que les messages qui leur parlent le mieux. Il est également important que vous compreniez le comportement de vos clients cibles pendant cette première étape.

Améliorez votre visibilité

La visibilité est primordiale si vous comptez vendre efficacement votre formation. Cela implique en premier lieu la création d’un site internet sur lequel vous allez pouvoir faire la promotion de votre travail. Ainsi, il faut améliorer le référencement de votre site pour obtenir une bonne visibilité. D’un autre côté, vous pouvez aussi vous servir des nombreux réseaux sociaux disponibles sur le web. Il suffit d’utiliser les plus populaires comme Facebook ou LinkedIn et Twitter. N’oubliez pas que des millions d’internautes ouvrent leurs comptes sur les réseaux sociaux tous les jours. Cela vous laisse une chance de capter l’attention des nombreux utilisateurs à voir votre formation.

Préparez un plan de prospection commercial

Notez que les réseaux peuvent être utilisés pour faire de la prospection commerciale. Mais, vous pouvez aussi agir directement auprès de votre entourage personnel et de votre réseau professionnel. N’oubliez pas que les personnes qui vous entourent peuvent en effet avoir leurs relations. Vous pourrez également avoir la chance de faire des connaissances professionnelles et leur parler de votre intention de vendre une formation. En dernier lieu, il est tout à fait possible de participer aux divers évènements et salons professionnels. Ces moments peuvent servir de réel tremplin si vous savez en profiter.

Le projet d’études, condition de base d’une bourse

Les bourses d’études sont de plusieurs types. Elles sont attribuées selon des critères sociaux et selon le mérite. Elles sont destinées à soulager les étudiants des soucis pécuniaires imposés par leurs études, à commencer par les frais de scolarité proprement dits, sans compter les frais de transport, de logement, etc. Elles sont octroyées par différents organismes, dont les universités et diverses autres entités, et peuvent concerner tout ou partie des dépenses. La demande doit concerner avant tout des études précises, dans une école précise. La demande doit généralement dépasser le stade de l’indication d’un diplôme pour porter sur une description de projet de cursus universitaire précis, sans oublier l’objectif de carrière consécutive à ces études. Comme l’analyse de la demande repose principalement sur la possibilité pour l’étudiant de réaliser son projet, il lui appartient d’en justifier la pertinence et sa capacité à les mener à bien.

Respecter les procédures à la lettre

La validation de l’inscription par l’université ciblée constitue le premier élément fondamental du dossier. Cette inscription dépend des résultats des scolarités antérieures, justifiés par les diplômes et relevés de notes. La lettre de motivation jointe à la demande de bourse est fondamentale en ce sens qu’elle doit exposer la motivation réelle pour les études envisagées. Ainsi, les lettres-types copiées sur internet ou sur d’autres sources sont rarement prises en considération. Il appartient donc à l’étudiant de rédiger sa propre lettre en mettant en évidence sa motivation réelle, ses aspirations et sa conviction par rapport aux objectifs de la fondation qui finance la bourse. A cet effet, c’est à l’étudiant de sélectionner les bourses qui l’intéressent parmi les différentes offres disponibles. Le choix doit tenir compte des exigences de la bourse et des conditions à satisfaire par les postulants, ne serait-ce que la faisabilité du dépôt de la demande dans les délais.

Devenir assistant virtuel free-lance : un travail synonyme de liberté

La liberté qu’elle offre fait partie des raisons pour laquelle le travail d’assistant virtuel free-lance est vivement apprécié. En fait, le travail numérique est en plein essor, tout comme l’idée de télétravail. Devenir assistant virtuel indépendant, c’est se donner alors la possibilité de combiner ces deux emplois tout en étant indépendant.

Travailler à domicile

Par définition, un assistant virtuel est un individu qui travaille sur Internet. Elle ne vient pas physiquement dans un endroit précis, mais travaille à distance en permanence. Il s’agit généralement d’un travail d’indépendant, mais il peut également être assuré dans le cadre d’un contrat à durée déterminée, d’un contrat à durée indéterminée, ou d’un contrat temporaire.
D’autre part, en fonction du client, de ses besoins et de toutes les méthodes définies, les assistants virtuels peuvent effectuer des tâches ponctuelles en présentiel. Celle-ci peut particulièrement participer à diverses activités organisées au cours de l’année. Comme elle est responsable de toute l’organisation de cette réunion, elle agira en vrai chef d’orchestre.

Devenir assistant virtuel indépendant : gérer son temps

Les assistants virtuels indépendants sont avant tout free-lance. Ainsi, elle peut gérer son emploi du temps en toute autonomie. Cette dernière n’a aucun compte à rendre concernant son horaire ou de ses jours de travail.
Cependant, des conversations régulières avec les clients peuvent vous permettre davantage d’appréhender les échéances. Le professionnel doit alors être attentif aux tâches répétitives de son client (dates à publier sur le blog ou à publier sur les réseaux sociaux, rendez-vous hebdomadaires, etc.) et suivre son agenda pour être à jour dans les tâches qu’on pourrait lui confier.

Manager ses clients et les assister en ligne

Il est possible d’être assistant virtuel indépendant à temps plein pour une personne ou pour plusieurs clients. En qualité d’assistant virtuel indépendant, il n’y a pas alors d’autres règles que de satisfaire les clients, assurer le soutien administratif et la gestion de ses réseaux sociaux. Cela consiste alors à assister et à fournir tous les services qu’ils attendent de vous.